Batman: The Darkknight DDDD
L'histoire
Batman aborde une phase décisive de sa guerre du crime. Avec l'aide du lieutenant de police Jim Gordon et du procureur Harvey Dent, Batman entreprend de démanteler les dernières organisations criminelles qui infestent les rues de sa ville. L'association s'avère efficace, mais le trio se heurte bientôt à un nouveau génie du crime qui répand la terreur et le chaos dans Gotham : le Joker...
Mon avis
Avec Batman Begins, Christopher Nolan faisait renaître un mythe de ses cendres et relançait la franchise Batman en faisant oublier deux épisodes de mauvaises blagues Schumacheriennes. Après le succès, il y a trois ans de ce Batman Begins, voici que sort le deuxième volet de la saga mettant en scène deux supervilains emblématiques de la bande dessinée créée par Bob Kane en 1939 : le Joker (Heath Ledger) et Harvey Dent/Double Face (Aaron Eckhart). Ce deuxième film remet donc en selle la franchise Batman, après les deux légendaires films de Tim Burton (Batman, 1989 et Batman : le défi, 1992) suivi de séquels signés Joël Schumacher assez insignifiants (Batman Forever, 1995 et Batman et Robin, 1997).
Avec un budget de 185 millions de dollars, la firme Warner a beaucoup investi dans ce titanesque long-métrage. A raison semble-t-il.
Avec The Dark Knight, le chevalier noir, le cinéaste très doué place la barre encore plus haut en transcendant toutes les attentes et en signant la transposition idéale de Batman sur grand écran.
Nolan a un sens du rythme consommé et sait ménager les respirations aussi bien que les temps forts sans jamais fatiguer. Même si le récit repose sur la déliquescence tragique de Harvey Dent/Double Face (Aaron Eckhart), Heath Ledger, à qui le film est naturellement dédié, délivre une prestation monstrueuse et hallucinante en Joker et respecte le caractère ludique de son personnage, sans tomber dans le cabotinage bouffon de Jack Nicholson dans le premier Batman signé Burton. L’acteur vampirise le film sans nécessairement apparaître à l’écran. Par sa simple présence démoniaque, il représente une menace mentale et laisse craindre le pire au détour du plan suivant.
Avec un budget de 185 millions de dollars, la firme Warner a beaucoup investi dans ce titanesque long-métrage. A raison semble-t-il.
Avec The Dark Knight, le chevalier noir, le cinéaste très doué place la barre encore plus haut en transcendant toutes les attentes et en signant la transposition idéale de Batman sur grand écran.
Nolan a un sens du rythme consommé et sait ménager les respirations aussi bien que les temps forts sans jamais fatiguer. Même si le récit repose sur la déliquescence tragique de Harvey Dent/Double Face (Aaron Eckhart), Heath Ledger, à qui le film est naturellement dédié, délivre une prestation monstrueuse et hallucinante en Joker et respecte le caractère ludique de son personnage, sans tomber dans le cabotinage bouffon de Jack Nicholson dans le premier Batman signé Burton. L’acteur vampirise le film sans nécessairement apparaître à l’écran. Par sa simple présence démoniaque, il représente une menace mentale et laisse craindre le pire au détour du plan suivant.
En conclusion
Sombre, intense et palpitant, voilà l'un des meilleurs films de super héros. Christopher Nolan nous bluffe tout simplement, en réalisant une œuvre quasi parfaite et totalement originale.
Ma note
17 / 20
* L'histoire 4.5 / 5
* La mise en scène 4 / 5
* Les personnages / acteurs 4.5 / 5
* Les effets spéciaux / bande originale 4 / 5